>. Textes dans l'Air...

Et revoilà mes Textes dans l'Air =)
Vous vous en sovuenez sûrement ^^ Je fait des poésies, des histoires courtes, etc...

Allons y ^^

1. Suicide.
Les larmes ruisselaient sur ses joues. Couchée par terre, la porte du balcon vérouillée derrière elle, elle pleurait. Ses longs cheveux roux, si jolis, ruisselaient sur ses épaules. Ses grands yeux verts étaient embués de larmes. Sa vie n'avait plus aucun sens. Comment elle avait pu oser ? Aller jusque là pour un chagrin d'amour ! Aller jusqu'à le tuer !
Repartons en arrière, une heure auparavant.
Assise devant le miroir de sa chambre, Éloïse coiffait ses longs cheveux roux en souriant doucement. Elle avait mis sa belle robe verte émeraude qui mettait sa chevelure en valeur. Aujourd'hui, elle avait dix-huit ans. La sonette de l'appartement retentit. Éloïse sourit puis alla ouvrir. Le facteur lui tendait une lettre.
Un hurlement perça le silence.
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !! JOOOOOOOHN !!!
La lettre était un testament. Où on lui lèguait tout.
Le testament de John.
Elle fondit en larmes, se laissa tomber au sol. Elle ne vit pas Liliane, sa meilleure amie, arriver. Elle ne la vit pas plaquer sa main contre sa bouche.
Elle l'entendit murmurer.
- Désolée... J'ai perdu le contrôle... Il m'avait fait si mal en allant avec toi... Il m'avait embrassé... Il devait mourir... Je voulais m'arrêter mais mon frein a lâché... J'était trop près pour qu'un coup de volant ne le tue pas quand même... Désolée...
Éloïse s'arrêta de pleurer. Se releva. Braqua un regard haineux sur Liliane.
- Dégage ! J'veux pas d'une pouffiasse qui vienne interrompre mon anniv' ! Casse toi, salope !
Liliane recula, comme frappée. Puis elle partit en courant.
Maintenant elle était là. Le rasoir dans une main. Elle pouvait le rejoindre. Tout quitter. Laisser tomber. Rejoindre John. Rejoindre sa mère.
D'abord envoyer le message.
Elle sortit son portable. Envoya un SmS à tout ses contacts. Simple.
'Désolée. Adieux.'
Puis elle inspira à fond. La lame du rasoir entra dans la peau de son poignet.

2. Ne me laisse pas toute seule...
« Commencer par des banalités comme 'Cher Matt' ou 'Mon bon Matt' ne serviraient à rien. La douleur que je ressent est trop grande pour que je songe à faire des salutations correcte, et je te prie de m'en pardonner, si tu peut un jour lire cette lettre.
Je ne sais pas que te dire, sauf que je t'aime et que je ne veux pas que tu me quitte aussi brutalement. Un dernier baiser, un long regard amoureux me suffiraient, mais tes yeux sont clos à jamais. Les médecins l'ont dit. To ncoeur ne bat presque plus. Je t'aime, Matt, et mon amour pour toi est tel que je ne trouve point les mots pour l'exprimer. Si seulement j'avait refusé ce stage, si seulement j'aurait put être avec toi lorsque que la voiture t'a percuté ! Je t'en supplie, ouvre les yeux, juste une fois, laisse moi te dire aurevoir d'une façon correcte.
Si seulement tu n'était pas là, allongé sur ton lit d'hôpital, perdu dans ton profond coma, dont tu ne ressortira sûrement jamais. Si seulement la voiture ne t'avait pas renversé. Si seulement je pouvais te dire que tu te rétablirais vite, que tu va bien, que tout va redevenir comme avant.
Matt, ne meurs pas !
Mon coeur serait brisé à jamais, je ne saurait que faire d'autre que mourir ! Mais désormais, c'est trop tard. Je vais mourir. Pour toi.
J'ai décidée qu'une chute longue et douloureuse suffirait.
Adieux. »
Dans le noir qui m'envahit depuis dix ans, je vois désormais une lumière. Elle grossit de jour en jour. Et là, je sais que la sortie est proche.
J'entrouve les yeux.
La première chose que je vois est une lettre sur ma table de nuit. Une lettre sur du papier parcheminée, posée là depuis sûrement dix ans, écrite avec tendresse et amour, sûrement de Jennifer.
Une lettre tâchée de sang.

3. Sourires.
Le bébé gazouille dans son berceau. Ses ârents le regardent, attendris. Le bébé leur lance un grand sourire de bébé. Le père embrasse les cheveux de sa femme attendrie par ce beau bébé.

Elle est assise par terre. Ses cheveux blonds volettent doucement dans le vent. Elle sourit en voyant sa copine courire vers elle en l'appellant joyeusement.

Elle le couvre de regard amoureux. Il passe ses bras sur ses épaules. L'attire vers lui. Lui souffle un 'Je crois que je t'aime' à l'oreille. L'embrasse pour ne pas qu'elle réplique. Elle ferme les yeux, lui les laisse ovuerts, vérifie que personne n'est là. Elle rovure les yeux, un sourire béat peint sur les lèvres. Le rembrasse.

Elle regarde le bébé qui vient de naître avec un sourire émerveillée. Elle le serre contre elle, sourit à son mari, à ses parents, à l'infirmière, fond en larmes de joie. Il est si beau...

La vieille dame sourit en voyant ses petits enfant courirent vers elle, se jetter dans ses bras. Elle les embrasse et sourit à leurs parents. Donne des bonbons et de gâteaux à sa famille.
Le téléphone sonne. Elle se lève, décroche.
Se fige. Fond en larmes.
- Non... Pas lui...
La voix reprends dans le téléphone :
- Nous sommes désolés, Madame. La conductrice a été arrêté. Malheureusement, nous ne pouvons rien pour votre mari.

C'est si nul que ça ? ...

Je LOVEEEEEEEEEE !!!!!<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3

Rohh Lisa faut que tu fasses un livre twa XD

Ah pardon , j'avais pas vue ><
Mais evidement que c'est bien !
Tout ce qui est by Sangly , c'est bien <3
T'es une écrivain née (y'a t'il un "e" à écrivain ? -_-')

Ah wi, j'avait zappé ça ^^'

Waaw, z'adoore <3
Ye veux une autre histoireuuuhh !!

J'adore c'te créa <3
J'ai volontairement gommé du texte, pour que ça fasse l'effet 'Matt est dans l'coma d'puis dix ans'
J'ai modifié la 1 et la 2.

Waaa <3
Ca rend super sur la lettre =D
Bravo Lily , bon boulot !

Merkiiiw =)
Ajout de 3 <3