* Bain du Matin *

Dans l'air froid du matin, un jeune chat ou plutôt une, sortait en s'étirant de la tannière des guerriers. Remuant le museau, faisant bouger ses petites moustaches blanches, elle ouvrit ses grand yeux bleus.

* Il va fair beau aujourd'hui. La Lune finit son tour, les nuages ne sont pas encore arrivés et le soleil commence à répandre ses beaux rayons orangés...Comme je préfèrerais qu'il neige.*

Première pensée du matin après un gros dodo.
Griffe de Lune de secoua la tête pour se débarasser des restes de sommeil planant ça et là.
Ouvrant la gueule et ses narines, elle huma l'air frais de l'aube qui en finit définitivement avec le sommeil, remplissant les poumons de la jeune guerrière.

* Pffiou ! Ca fait vraiment du bien ! *

Ses deux grands miroirs bleus parcoururent avec attention le camp encore désert. La journée commençai bien, elle allait pouvoir manger sans cet air neutre qu'elle se façonnais constemment aux contacts des autres.
Légerement, elle trotinna jusqu'au tas de gibier où elle piocha un petit poisson qui sentait bon l'eau fraiche du lac.

* Je remercie de tout coeur celui qui l'a pêché. Que le Clan des Etoiles veille sur lui. *

Tout les matins la même chose, elle n'osait pas dire merci et se sentait à chaques fois redeveuses. Donc, elle priait le Clan des Etoiles de veiller sur celui grâce à qui elle allait bien manger.
Effectivement, elle mangea bien; toute seule, dans la nuit finissant mais elle mangea bien. La rosée alentour lui permit de se désaltérer tranquilement puis, elle commença la longue toilette de ses poils pas long mais pas trop trop courts non plus...elle rouspeta dans sa barbe.

* Quelle corvée ! *

Néamoins, elle finissait toujours par les remercier de la protéger de la morsure du froid pendant la saison des feuilles mortes.

Dans l'air un peu moins frois de l'aube, une guerrière du Clan de la Source, après avoir manger et après s'être fait sa toilette, partit en quête des sources purs pour pêcher, pour rapporter ce qu'elle avait manger.
La gueule légerement ouverte, les oreilles s'affolant aux moindres bruits et les moustaches frétillantes, Griffe de Lune s'approchait de la Source, son endroit fétiche. Là où elle allait toujours se rencontrer, là où elle était son vrai elle, pas celui qu'elle cachait aux restes de ses confrères.
Une bridille craqua, un petit cailloux roula, une feuille tomba en émettant un bruit mat sur la mousse couverte de rosée, les griffes de la guerrière crissèrent sur un rocher. Aucun bruit de rongeur, dommage pensait la femelle mais s'était une habitude maintenant et le poisson était la seule nourriture qu'elle mangeait à quelques exeptions qu'elle pouvait comper sur le bout de ses griffes.
Griffe de Lune arriva à sa destination.
Elle observa la Source. Toujours aussi calme, toujours aussi féerique. Son imagination se mit automatiquement en marche et des fées apparurent petits scintillements. La neige se mit à tomber, la source s'arrêta de couler, laissant la saison froide prendre la main. Le scintillement redoubla d'intencité, illuminant les yeux imaginatifs de Griffe de Lune. Elle sourit
un bruit sec la fit revenir brusquement à la réalité, quelqu'un l'avait-il vu en train de rêver, en train d'être différente ? Les yeux aggrandis par la stuppeur, elle écouta. Rien. Le bruit recommença. Le poisson percuta la surface lisse de l'eau en faisant un beau plat. Elle respira plus bibrement, ce n'était qu'un petit poisson de rien du tout.
En pensant à cela, elle s'approcha de l'eau aussi transparente que pure.Elle apprécierait tellement être comme cette source : belle, pure et libre de parcourir son chemin.
Le goût du poisson qu'elle avait engloutit ce matin lui remonta dans la gueule et elle se mit tout de suite en devoir d'en pêcher de nouveaux pour son clan.

Dans l'air chaud du petit matin, Grffe de Lune commença à pêcher. Très vite, elle commença à sentir la chaleur des rayons sur son dos, la réchauffa,t doucement. Un air béat se peignit sur sa truffe. Quel bonheur cette sensation d'engourdissement soudain...Plouf !

Dans l'air, cette fois très froid de l'eau de la source, la jeune chatte, surprise avait glissée dans l'eau. Et là , les rayons du soleil ne l'atteignait plus. Et elle commençai à sentir le froid traverser ses poils drus. Elle sortit péniblement, se trainant sur les rives, boueuses et glissantes.
De l'eau plein la bouche elle cracha puis soupira. Avec cet incident, les poissons étaient sans aucun doute partis.
Cette fois, un air triste ce peignit sur son visage dégoulinant. Elle était tellement honteuse. Heureusement qu'il n'y avait personne dans le coin. en plus elle allait devoir attendre longtemps avant que les poissons reviennent et avant que son pelage cesse de goûter comme ça...Très longtemps.
Elle commença alors, la rude tache de lisser et sécher ses poils, trempés.

Un nuage blanc se formait devant son museau à chacune de ses expirations. La femelle frissonnait sous son épais pelage tricolore. Il ne neigeait pas, mais le froid avait de loin précédé les flocons. Oui, il faisait froid pour un début de saison des feuilles mortes. Étoile Éphémère essayait de garder ses membres au chaud, près de son corps. Elle était toute crispée.

Elle s'éloigna de sa tanière d'où elle venait de sortir après un sommeil paisible pour se diriger vers le tas de gibier.

Elle entraperçut alors qu'elle disparaissait de l'entrée du camp le bout de la queue d'un matou gris. Évidemment, elle ne reconnut pas le propriétaire de ce bout de queue — quoi reconnaîtrait quelqu'un grâce aux quelques poils du bout d'une queue ? La meneuse songea avec amusement que peut-être l'on pourrait la reconnaître, elle, avec sa queue aux anneaux tricolores étranges : la pointe blanche, étoile de la nuit de l'anneau suivant, puis du roux, du blanc, encore du roux, du noir... Mais cette queue qui venait de disparaître était grise, simplement grise, et le Clan des Étoiles savait combien le Clan de la Source comptait de félins gris. donc, elle n'avait pas la moindre idée de qui cela pouvait bien s'agir. Oh, bien sûr, elle pouvait procéder par élimination — pas Brume Légère, tricolore comme elle-même ; pas Fleur de Soleil, à la fourrure beige claire, et cætera — mais, comme nous l'avons dit plus haut, il resterait beaucoup de chats gris (même en plein jour, pensa-t-elle en s'arrachant un sourire dévoilant ses dents qui claquaient). Donc, qui était-ce ?

Elle dédaigna la réserve de gibier, qui de toute façon ne contenait que des poissons dont elle se lassait, et décida de suivre "l'inconnu".

Ses membres tendus ne la portaient pas très fluidement vers l'extérieur du camp, aussi arriva-t-elle trop tard pour voir le fugitif, et ne put-elle continuer sa poursuite que par le frémissement des roseaux sur le probable passage de sa "proie". Transie, elle suivit cette piste et s'arrêta au milieu des tiges, n'ayant aucune idée du chemin qu'avait emprunté le félin gris. De plus, elle ne pouvait pas le poursuivre à l'odeur, car ses narines étaient gelées.

Elle était donc perdue. Tentant un haussement d'épaules faussement indifférent, elle permit à l'air glacé de l'aube de s'infiltrer entre ses poils, et elle se recroquevilla brusquement pour se réchauffer. Elle leva le museau vers le ciel qu'on pouvait entr'apercevoir au travers des tiges : il commençait à se teinter d'un doux orangé, qui la réchauffa par sa seule présence joyeuse. Revigorée, elle décida d'aller effectuer une patrouille solitaire à la Rivière de Boue.

Il était vrai que c'était peut-être un peu trop hâtif et irraisonné de croire que le Clan de l'Orage veuille les terres de la Source : malgré son dégoût pour son propre territoire, trop humide à son goût, Étoile Éphémère savait que si les poissons y abondaient, le Clan de l'Orage trouvait largement assez de quoi se nourrir sur son territoire. Elle ne se posait même pas la question de l'eau.

Or, alors qu'elle se dirigeait vers la frontière, elle passait devant la Source Pure et un gros "PLOUF" attira son attention : sûrement pas un poisson : trop gros. Sûrement pas non plus un gros animal terrestre : il n'y en avait pas au Clan de la Source. En fait, c'était précisément le PLOUF qu'aurait fait un chat. Inquiète désormais, elle délia ses membres et galopa en direction de la source du bruit.

Alors qu'elle se démenait au séchage et a démêlage de son pelage devenue presque noir à cause de l'eau même pure d'une source, ses oreilles se tournèrent imperceptiblement vers l'entrée de son refuge.
Elle huma l'air glacé du petit matin et s'arrêta brusquement.
Son regard bleu glacé croisa celui, légèrement inquiet de sa meneuse.

Relevant vivement la tête, elle eut un hoquet de surprise et, honteuse d'être trouvé comme ça, elle baissa la tête. Elle pouvait presque sentir l'oderu de roussi émanée de ses poils.

"Euh..."

Elle ne savait pas qui dire et pour une fois, le vide était total dans sa tête.
Elle osa relever lentement la tête en s'imposant une mine neutre. Comme à son habitude.

" Je...enfaite, je suis tomber enfin, j'étais plongé dans mes pensées et je suis tomber."

Elle s'excusait. Elle observa Étoile Éphémère, attendant la réponse.
Les yeux de sa meneuse, bleu comme les siens, mais d'une façon différente, ils étaient lumineux, remplis de quelque chose que ses yeux à elle, Griffe de Lune ne connaissait pas ou qu'elle avait perdu depuis bien longtemps...En étudiant son visage, elle remarqua la légère gelure sur son museau d'un jolie rose. Sa passerait vite, le soleil arrivait.
Elle rebaissa la tête attendant la réponse de sa meneuse.

Essoufflée, Étoile Éphémère déboula devant la Source Pure. Son épaule, autrefois blessée par un aigle, la faisait souffrir : elle détestait ce territoire trop humide et trop froid. Elle grommelait et regardait le sol afin de ne pas poser une patte sur du verglas et glisser jusque dans l'eau gelée.

Elle risqua un rapide coup d'œil autour d'elle et se figea : dégoulinante, se tenait Griffe de Lune. Oui, cette queue grise et touffue, c'était bien elle que la meneuse avait poursuivie depuis le camp. Enfin, touffue... Sèche, elle l'était sûrement, mais là, les poils presque noirs étaient collés contre son corps, et elle avait l'air maigre et en mauvaise santé. La jeune Chef leva les yeux vers Griffe de Lune, une expression horrifiée sur le museau.

— Euh... Je... En fait, je suis tombée enfin, j'étais plongée dans mes pensées et je suis tombée...

Bégayait-elle parce qu'elle était désolée et honteuse d'être trouvée ainsi, ou bien parce qu'elle grelottait, transie de froid ?

— Oui..., bredouilla Étoile Éphémère, tu étais plongée dans tes pensées et tu as plongé dans la source...

Oh, mais pourquoi faisait-elle de l'humour aussi nul et vulgaire lorsqu'elle était désemparée ?

— Mais tu vas mourir de froid ! cria-t-elle presque.

Elle s'approcha d'elle en boitant à cause de son épaule dans l'intention de la pousser jusqu'au camp où elle pourrait se réchauffer en se joignant à tous les guerriers ; il ferait certainement plus chaud dans la tanière. Le pelage trempé de la guerrière était glacé. Elle frémit en se plaquant contre son corps pour essayer de lui insuffler un peu de chaleur, car l'eau imbiba sa propre fourrure.

C'est alors que la neige survint. Les flocons d'argent dansaient doucement autour d'elles. Ils se posaient et aussitôt mourraient en touchant la terre, fondus par la faible chaleur que dégageait encore le sol.

Mais le plus merveilleux se passait au dessus de la source. Les flocons, de plus en plus nombreux, pénétraient dans l'eau pure et s'unissaient à elle. La source gonflait paisiblement et soulevait un peu les plaques de glace qui s'étaient formées sur ses bords. Absorbée par ce magnifique spectacle, le meneuse ne se rendit pas compte qu'au lieu de fondre, la neige recouvrait son pelage tricolore et la transformaient en une chatte blanche. Elle ne tremblait plus de froid. Une douce quiétude l'envahit et ses paupière s'abaissèrent lentement sur ses yeux bleus fiévreux, hypnotisés par la symphonie de la neige. Puis elle les rouvrit précipitamment. L'esprit de la neige qu'elle était devenue un court instant s'ébroua et les flocons s'éparpillèrent autour d'elle, dénudant son pelage tricolore assombri d'eau et plaqué contre sa peau. La neige les enserrait étroitement, et les privait de tous repères : le blanc était partout, maintenant rapide et féroce, conscient que son piège n'avait pas fonctionné.

Étoile Éphémère maudit les terres du Clan de la Source, la saison des neiges, et même la beauté des lieux qu'elle fut obligée d'admettre. Elle poussa Griffe de Lune.

(désolé pour ce retard impardonnable TT_TT)

Griffe de Lune sentit la neige arrivé avant de voir le premier flocons...
Aussi, quand ils arrivèrent, la jeune guerrière sentit la joie et la paix envahir son corps transit de froid. Les flocons, légers comme l'air, doux comme le duvet des oisillons, merveilleux comme le parfums d'une mère sur son nouveau-né.
Les yeux, la gueule, le corps entier de la grise souriait au ciel devenu gris par le mauvais temps. Malheureusement, lorsqu'Étoile Éphémère la poussa, elle dut s'arracher à ce magnifique spectacle, à cette renaissance pour elle. Elle regarda sa meneuse, prête à lui cracher des reproches à la figures. Elle se retint. De justesse. Au dernier moment. Elle baissa la tête. Quelle honte ! Elle avait faillit reprocher à sa chef de lui sauver la vie !
Aussitôt après cette douloureuse pensée, tout lui revint d'un coup. Son corps se mit à trembler et elle sentit les gouttes ruisseler de partout. il fallait d'urgence qu'elle bouge. De plus, elle était entrain de tremper Étoile Éphémère.

" Je...je suis désolé."

Puis, se replongeant dans sa coquille, elle afficha un visage neutre et se détourna de sa meneuse.

"Suivez moi.", dit-elle d'un ton vide, dépourvut de tout sentiments extérieur.

La jeune guerrière attendit que sa chef soit à son niveau pour commencer à avancer, l'aidant de son mieux.

* Je suis tellement désolé, pardonnez-moi. * pensait-elle très fort.

Sans de plus de paroles, elle continua d'avancer. Péniblement, mai sûrement.

[Attends, je compte... Ah oui, ça fait presque trois mois =D]

«Je… je suis désolée.»

Malgré les assauts cruels du froid, Étoile Éphémère ricana doucement. Pourquoi se disait-elle désolée alors qu'elle n'avait embêté personne ? Elle était tombée, d'accord, mais elle s'en était sortie toute seule ! Et maintenant, elle allait mourir de froid, et elle s'excusait toujours. Je suis désolée, désolée que vous deviez me veiller cette nuit, désolée de laisser ma part de gibier dans la réserve, désolée de tout... Blablabla !

«Suivez-moi.»

Elle commença à dégager un chemin dans la neige qui avait déjà créé une couche étonnamment épaisse en si peu de temps : elle arrivait déjà à mi-patte de la meneuse, qui était pourtant plutôt grande et bien bâtie. Étoile Éphémère dépassa Griffe de Lune et la força à s'arrêter :

«Si tu continues à te frotter comme ça à la neige, tu vas geler toi-même.»

Sur ce, elle prit la place de la guerrière en tête de leur petite colonne et continua son ouvrage. Elle n'avait plus la force de sauter au dessus du blanc pelage de la terre, tant elle était glacée. Elle poussait difficilement ses pattes en avant. Ses coussinet, en touchant la terre dure et givrée, la picotaient et la brûlaient. «Je suis Chef. Je dois protéger mon Clan.» Elle prit la direction du camp. S'arrêta au bout de trois pas, s'ébroua pour chasser la neige. Elle eut l'impression que la chute de neige s'était un peu calmée. Mais le vent lui envoya une bourrasque chargée de flocons dans le museau. Elle crut voir la forme d'un chat pêchant des poissons, puis partir en lui lançant un regard aveugle. Et disparaître. «Voilà une des raisons pour laquelle je déteste ce clan : on croit y voir partout des signes ; dans l'eau, dans la neige, dans le ciel, dans les joncs qui se couchent sous le vent... Je ne suis pas Guérisseuse !»

Elle était jeune : elle n'avait vécu que deux saisons des neiges, mais elle était certaine que jamais la neige n'était arrivée si tôt. Les arbres possédaient encore beaucoup de feuilles !

[•_______•' Pas d'inspiration T_T]

[ Je sais...TT__TT désolé désolé désolé !!! ]

La jeune guerrière poussait la neige bravement pour forcer le passage quand sa meneuse la dépassa et vrilla ses yeux dans les siens.

«Si tu continues à te frotter comme ça à la neige, tu vas geler toi-même.»

Les yeux de Griffe de Lune s'ouvrirent en grand et sa bouche s'ouvrit et se referma successivement. Étoile Éphémère prit sa place de tête et continua d'ouvrir le chemin à sa place.

* Étoile Éphémère...*

Griffe de Lune sourit. Cette meneuse plutôt grande et boitillante était incroyable. Elle était vraiment une bonne chef.
Elle était tout le contraire de la petite guerrière. Étoile Éphémère avait le contact avec les autres facile, elle souriait souvent, elle rassurait, elle protégeait son clan. Même si parfois, elle semblait hésitante pour ce rôle de chef, elle faîte pour l'être.

*Merci*

Sur cette dernière pensée, les chattes rentrèrent au camps, les pattes trempées pour l'une, le corps entier pour l'autre.
Griffe de Lune remercia sa meneuse de tout son cœur puis, elle fonça vers la tanière des guerriers et commença sa lourde tache de faire sa toilette.

[ Allé, fini ! Pas d'inspi non plus. >o< ]

[Allez, vous pouvez locker (Ohééé, les modoooos XO), une petite conclusion c'est tout =D]

— Étoile Éphémère... Merci.

La meneuse répondit au sourire que lui offrait Griffe de Lune. Elle se sentit emplie de joie de l'avoir aidée. Finalement, elle commençait à se faire à son rôle de nouveau Chef. C'était agréable d'être remerciée...

Les deux chattes rentrèrent avec soulagement au camp. Elles étaient trempées, et Étoile Éphémère espérait que personne n'aurait l'idée de retourner se baigner dans la Source Pure, et surtout qu'il n'y aurait plus de tempête de neige comme celle qui continuait de faire rage autour d'elles alors qu'elles regagnaient leurs tanières respectives.

» Ce matin...[libre]
» Rencontre sous la brume du matin {pv Eclipse}