Survie et Amour Impossible.

PROLOGUE.

« Aïe ! Mais arrête ! »

Voilà ce que je criait, moi, Ben, 15 ans.

« Ta gueule ! Sale gamin ! T’avais qu’à ramener une meilleure note ! »

Mais putain ! J’en avait marre, moi ! Je ramène un 12.5/20 et c’est assez pour que mon connard de père me tape ! C’est mieux que mon 6/20 d’hier, non ? Mais mon père, il a jamais assez ! Y lui faut toujours des notes comme 18/20 et plus !Mais c’est pas ma faute si je suis nul en math ! Mais lui, y vaut rien entendre ! C’est un peu de sa faute, il m’explique jamais rien ! Sans cesse occuper à regarder le

foot devant la télé, une bière à la main ! Moi, dans

cette maison de merde, on pourrait croire que j’existe pas ! Quand

on me parle, c’est seulement pour me dire : « Ben ! Viens manger ! ».

J’ai jamais su pourquoi y me parlait jamais. Je dois être un

enfant non désiré !

« Tu veux jamais rien entendre ! J’ai des explications, moi,

pour avoir ramené une « mauvaise » note ! »

Mon père leva la main à nouveau, la rage était peinte sur son visage et l’abattit sur ma joue d'où surgit une douleur aïgue, un filetde sang coula hors de ma bouche. Je l'essuya d'un gesterapide, les yeux emplis de rage.

« T’as rien à dire, Ben ! J’en veux pas, d’explication,

vu que, venant de toi, elle sont sûrement mauvaise,

comme tes notes ! »

M’hurla Pierre Gris à la figure. Oui, mon nom

de famille, c’est Gris ! Un nom ridicule, dont

les élèves de ma classe se sont souvent

moqués, mais je m’en fiche bien.

« Mais arrête ! Laisse-moi ! Maman, dit-lui ! »

Répliquais-je d’une voix forte alors qu’un gros

bleu à mon bras droit me faisait de plus en plus mal,

bleu causé par mon père la veille. Aujourd’hui, vers 19 heures,

il m’avait retaper au même endroit, et l’engueulade avait commencer. Demander de l’aide à ma mère ? Je savais bien que c’était inutile ! Comme d’habitude, elle était assise sur une chaise, observant la scène avec un petit sourire débile. Son haleine puait l’alcool, encore
une fois. Oui, ma mère, Sofia Gris, est alcoolique, depuis maintenant 5 ans, elle a commencer le lendemain de mes
10 ans. Elle disait "Juste une gorgée!", mais, en réalité, elle buvait une bouteille entière, au fil des semaines, elle en buvait de plus en plus, sans pouvoir s'arrêter. C’en était trop, je me rua vers la cuisine, ferma la porte à clef, tandis que mon père hurlait des insultes en tapant de ses poings puissant contre la porte qui en tremblait presque. Je m’empara
de mon petit sac à dos. J’ouvris le frigo, m’empara de viande crue qu'on était censé manger ce soir,
d’une bouteille d’eau et d’un bol. Ensuite, j’enfourcha le sac sur mon dos, heureusement, il n’était pas trop lourd et sauta avec un corp de félin à travers la fenêtre. De la cuisine, je passa au jardin mal avec un regard inquiet vers la porte, sauta la clôture avec une agilité incroyable et m’enfonça dans le parc se trouvant devant chez moi. Oui, moi, Ben,
jeune homme de grande taille, yeux verts, cheveux brun mi-long, j’avais le pouvoir de me transformer en Chat. Oui, aujourd’hui,

il était temps pour moi de quitter cet endroit maudit,

cet endroit où, pendant 6 ans, j’avais été tapé, insulté…

maltraité.

Je suis pas aussi douée que toi, en Fiction, c'est la première que je fais! =) Mais merci pour les conseils! <3

Je la metterais peut-être aussi vers le chapitre ! =)

Veut la suiite ;p Peut-être trop court, tu décris pas assez la douleur du gamin xp et pourquoi sa mère boit, détails un peu ce qui entourne Ben.. Wink