Etoile Fauve Meneuse. Ayez confiance en moi.
Nombre de messages : 772 Age : 32 PUF : Siumi Clan du Chat : Dunes Inscrit le : 25/04/2008
CV. Nom du Chat 1 :: Patte Fauve /Nuage Fauve /Griffe Fauve /Etoile Fauve Nom du Chat 2 :: Petit Faucon /Nuage de Faucon Nom du Chat 3 ::
| Sujet: Foudre Noire devient sentimentale...pas bon, ça. Jeu 7 Aoû - 20:38 | |
| >Foudre Noire faisait les cents pas devant la tanière de sa chef, le son de ses pattes éttoufé par la poussière sèche. Elle attendait depuis l'aube, et le soleil était déjà haut dans le ciel. Elle avait participé a la patrouille de l'aube, mais sa chef ne s'était pas montré depuis un temps incroyable, et la guerrière fulminait. Pas Etoile Sanglante ! Elle ne pouvait pas faire ça ! Le Clan s'inquiétait, chacun se posait des questions, les chats étaient contraints de se débrouiller seuls et certains étaient complètement désoeuvrés. Leur meneuse semblait avoir décidé de mourir dans son antre, apparement. Foudre Noire secoua la tête. Etoile de Givre, elle était jeune. Etoile des Mers, pas de nouvelles. Etoile Fauve, a ce qu'on disait, était colèrique, impulsive. Etoile Sanglante était courageuse, expérimentée, sage, et battante ! OU était passé cet esprit indomptable, caractérisant autrefois la chef aux yeux de sang ? A bout de nerfs, Foudre Noire s'assit devant la tanière, prés du rideau de lichen, décidée a ne plus bouger. -Etoile Sanglante, je sais que tu m'entends. Nous avons besoin de toi. Tout le Clan. Pas seulement pour nous organiser, tu sais. On a juste besoin de ta présence. Je sais que tu ne nous laissera pas...je veux croire que tu es bien cette chef que j'ai admiré depuis toute petite. Je...je suis sure que tu nous mènera a la victoire...On a jamais eu plus besoin de toi qu'en cet instant. Je t'en supplie Etoile Sanglante, je ne sais pas si on va s'en sortir sans toi...- Foudre Noire dressa les oreilles, attendant un mouvement, un bruit, peut-être sa chef sortant lui arracher les oreilles...mais la tanière restait silencieuse. La guerrière poussa un inaudible soupir, se coucha contre la piere du promontoire, a un pas de l'entrée, et attendit. | |
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